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 Les poissons et crustacés ressentent la douleur

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Bidalinouette
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Bidalinouette


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MessageSujet: Les poissons et crustacés ressentent la douleur   Les poissons et crustacés ressentent la douleur Icon_minitime1Sam 18 Déc 2010 - 20:03

Les poissons et crustacés ressentent la douleur Lecteur1




Des scientifiques
britanniques de l'Université d'Édimbourg et de l'Institut Roslin ont prouvé,
pour la première fois, que les poissons peuvent éprouver de la douleur.


Les scientifiques
savaient que les oiseaux et les mammifères pouvaient en ressentir mais, jusqu'à
maintenant, aucune recherche n'avait réussi à le prouver chez les poissons.
Pour y parvenir, les chercheurs ont stimulé la tête de truites arc-en-ciel sous
anesthésie à l'aide de différents outils mécaniques, thermaux et chimiques. Ils
ont enregistré l'activité neurologique des poissons.


Des changements
comportementaux et physiologiques ont alors été observés chez les truites
exposées à des substances dangereuses. L'équipe de recherche compare même ces
réponses à ceux rencontrés chez les mammifères.


Les chercheurs
ont même réussi à identifier 58 zones dans leur tête qui réagissent aux
différents stimulus. Pour eux, cette recherche démontre l'existence de
récepteurs et suggère qu'une stimulation dommageable a des effets
physiologiques et comportementaux sur la truite.


Les scientifiques
concluent donc que ces données rencontrent les critères pour décrire la douleur
animale.




PITIÉ POUR LES
POISSONS


Pour certains, le
poisson est bon pour le coeur, le cerveau, ne souffre pas quand on le tue,
constituant même un repas-santé.


C’est pour
plusieurs, la dernière frontière avant de devenir complètement végétarien, une
phase transitoire, comme si manger du poisson était moins culpabilisant que de
dévorer du boeuf ou du porc.


Pourtant, le
poisson est sans contredit de la chair animale. Selon de récentes études, la
consommation de poisson ou de fruits de mer (comment peut-on qualifier de fruit
un charognard comme le homard ?) ne diminuent en rien l’incidence des maladies
cardiaques.


N’en déplaise aux
vendeurs d’huile de poisson, les fameuses Omega se retrouvent amplement dans
les noix, les graines (de lin ou de chanvre) ou les huiles végétales. Décrire
le poisson comme un aliment santé alors qu’il passe toute son existence dans un
environnement pollué et toxique est absurde.


Les métaux lourds
(mercure, arsenic, cuivre, etc.), les pesticides, les éléments radioactifs
s’accumulent dans son organisme tout comme dans celui du consommateur de
poisson.


Le poisson est
l’hôte de virus, de bactéries et de parasites. Une fois pêchés, on soumet les
poissons, les crustacés et les coquillages à des séries de traitements
chimiques tant sur le chemin du point de vente que sur le point de vente
lui-même.


Sur les bateaux,
le poisson frais est souvent conservé dans la glace pendant deux semaines ou
plus ou plongé dans une solution contenant des antibiotiques et des
conservateurs chimiques.


En route vers le
détaillant, le poisson frais bien que réfrigéré, peut être soumis à l’action du
nitrate de soude, du peroxyde d’hydrogène et d’autres produits chimiques afin
de prévenir sa décomposition.


Poissons,
homards, crevettes, huîtres ou palourdes peuvent être reliés à l’hépatite, au
choléra, à la salmonellose, au botulisme, à divers cancers, à des problèmes du
système nerveux et à des malformations congénitales.


Le poisson est
un animal en voie de disparition, les océans étant vidés par la surpêche. Ce
hold- up de la mer détruit aussi quantité d’animaux marins
, puisque les filets des
pêcheurs attrapent et rejettent des millions de prises non-désirées (baleines,
dauphins, oiseaux, etc.).


Dans les
piscicultures, on fabrique à la chaîne poissons, crevettes ou palourdes. Dans
ces endroits fermés et surpeuplés, le stress est source de nombreuses maladies.
Diverses épidémies (comme la nécrose pancréatique), les virus et les bactéries
doivent être contrôlées par des médicaments chimiques tels les antibiotiques.


Les animaux
prisonniers reçoivent souvent de la farine de poissons en guise de nourriture.


On manipule génétiquement
ces machines à produire afin de satisfaire les producteurs et les
consommateurs.


Les poissons ne
peuvent vocaliser leur souffrance mais plusieurs études démontrent que leur
système nerveux et leurs sens sont assez développés pour ressentir la détresse.


Pour le
biochimiste australien Frank Hird : Il est inconcevable que le poisson n’ait
pas de récepteurs de souffrance. Il en a besoin pour survivre. Les poissons ont
donc une sensibilité et des recherches faites à l’Université d’Utrecht
confirment qu’ils ressentent l’angoisse lorsqu’ils sont entravés dans leur
liberté de mouvement ou se sentent menacés.


Pour le poisson,
le supplice de l’asphyxie est source de souffrance.


Tout comme le
fait de mourir entassés sur d’autres poissons dans un filet ou d’avoir le corps
ouvert par une lame tranchante.


Il est indéniable
que le poisson ressent de la douleur lorsqu’il halète en vain dans le vide à la
recherche de son souffle et de sa vie.


SOURCE Photos Peta: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Homards
ébouillantés


Les homards
peuvent vivre plus d’un siècle et ont une vie sociale complexe.


Leur système
nerveux sophistiqué les rend sensibles à la douleur
: les nœuds neuraux sont
dispersés sur tout le corps et ne sont pas centralisés dans le cerveau, ce qui
signifie qu’ils sont condamnés à souffrir jusqu’à ce que leur système nerveux
soit complètement détruit.


Séparer la moelle
épinière et le cerveau en coupant l’animal en deux fait même sentir la douleur
à chacune des parties encore vivante !


De plus, le
homard ne dispose pas du mécanisme dont disposent par contre les humains (entre
autres), qui fait qu’en cas de douleur extrême, le choc intervient pour
court-circuiter la sensation.


Or, d’après le Dr
Robb, de l’Université de Bristol, un homard plongé directement dans l’eau
bouillante reste vivant quelques quarante secondes - quarante secondes de
souffrance.


Placé dans de
l’eau froide portée à ébullition, il peut survivre pendant cinq minutes. Tué
par la méthode industrielle qui consiste à l’immerger tout simplement dans de
l’eau douce, il agonise pendant deux heures…


De leur capture
jusqu’à la fin de leurs misères, ils doivent aussi endurer une privation quasi
totale de mouvements pendant des semaines dans de minuscules cages métalliques
dans les entrepots, dans les aeroports, puis dans les chambres frigorifiques,
puis dans les aquariums, les grands magasins et les restaurants. Par facilité,
mais aussi pour éviter qu’ils ne salissent leur cage de leurs déjections, on
les laisse jeûner pendant tout ce temps ; pour cette raison, de crainte que,
affamés, ils ne s’en prennent les uns aux autres, on les laisse tout ce temps
avec les pinces liées avec un ruban adhésif. Plus de 80 millions de homards
vivent ce calvaire chaque année de par le monde.
Source: (infos Gaïa, et S. O’Neil, Courrier international, n°474, et C.
Gericke, Tierrechte n°22, nov. 2002)

Les homards
sont des créatures fascinantes.


Ils atteignent
cent ans d'âge, effectuent de longues migrations et ont un sens de
l'orientation très poussé qu'ils doivent à des organes extrêmement sensibles
dotés de récepteurs particuliers.


Richard
Steiner,président de la Protection Suisse des animaux, a pu observer en
Nouvelle-Ecosse les méthodes de travail d'une des plus grandes entreprises
d'exportation de homards du monde.


Des tonnes de ces
grands crustacés sont pêchés sur la côte nord-est des Etats-Unis et du Canada
puis “engraissés” dans des homarderies où l'on n'hésite pas à recourir à des
antibiotiques.


Dans les
récipients pleins à craquer, pinces liées, les animaux sont acheminés vers des
halles de conditionnement.


On les entassent
dans des boîtes exiguës, en fonction de la demande les animaux demeurent sous
réfrigération : les scientifiques supposent qu'ils ressentent la douloureuse
morsure du froid.


Entassés,
privés de nourriture, les homards attendent leur fin cruelle…


Une fois plongés
dans l'eau bouillante, leur combat contre la mort peut durer plus de deux
minutes. Une solution pour les étourdir, consiste à les plonger dans une
solution concentrée salée avant de les ébouillanter.

Les poissons et crustacés ressentent la douleur Homard

Source: (Oeuvre
d'Assistance aux Bêtes d'Abattoir)
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