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 infos bis

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marc
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marc


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MessageSujet: infos bis   infos  bis Icon_minitime1Ven 8 Mai 2009 - 14:05

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(nota: lorsqu'un site "chrétien" parle des droits des animaux, c'est pour lutter contre l'avortement)

Portugal : ne pas interdire les corridas sans mettre fin à l'avortement légal.
6 mai 2009
Si les villes portugaises de Viana do Castelo, Braga, Cascais et Sintra ont décidé d'interdire les corridas sur le territoire de
leurs conseils municipaux, pourquoi permettent-elles l'avortement? C'est la question pertinente posée par l'association pro-vie
"Juntos pela Vida" (Ensemble pour la vie) qui a adressé des lettres ouvertes aux maires concernés pour qu'ils prennent publiquement
position.
Le maire socialiste de Viana, l'un des initiateurs des projets d'interdiction de la « tourada » portugaise - à cheval et sans mise à
mort du taureau dans l'arène - a répondu avant même d'avoir reçu la missive. « Les deux choses ne sont pas comparables », a-t-il
dit, assurant que les pro-vie devraient se dédier à la « prévention et à l'éducation sexuelle » (on appelle cela un oxymoron). Et de
se dire à la fois contre l'avortement et pour le droit de la femme de choisir : Defensor Moura a des problèmes de logique.
Le président de l'association de défense des animaux « Animal » a quant à lui récusé l'appel de « Juntos pela Vida » de s'associer à
leur démarche, en assurant que les municipalités n'ont pas le pouvoir légal d'interdire l'avortement.
« Si l'on veut être sérieux » dans un pays où les droits des animaux sont en général mal défendus, a-t-il ajouté, « on ne peut pas
traiter de questions aussi délicates d'une façon aussi légère ».
Réponse de Pedro Monteiro, de « Juntos pela Vida » : l'avortement est une torture horrible et sanglante, « il n'est pas possible que
devant les données scientifiques prouvant que le bébé souffre nous restions sans réagir, comme si nous étions sourds. » « Comment
a-t-il été possible que nous en arrivions au point où pour défendre le droit des jeunes filles et de leurs mères de ne pas subir des
traitements inhumains et cruels il soit nécessaire d'invoquer un réglement municipal pris pour le bien des animaux ? »

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COMMERCE
Boeuf aux hormones : accord entre USA et UE

NOUVELOBS.COM | 06.05.2009 | 16:30
Cet accord doit autoriser la commercialisation en Europe de la viande d'animaux américains non traités aux hormones.
Un accord préliminaire a été signé par les Etats-Unis et l'Union européenne, mercredi 6 mai, qui doit leur permettre de régler leur
conflit sur la commercialisation en Europe du boeuf américain, et autoriserait la viande d'animaux non traités aux hormones.
Cet accord implique que les Etats-Unis renoncent au triplement des droits de douanes contre le roquefort, qu'ils envisageaient
depuis janvier.
"Nous avons atteint un compromis qui fournit une issue pragmatique dans le conflit de longue date sur le boeuf", ont indiqué dans un
communiqué commun le représentant américain au Commerce extérieur (USTR), Ron Kirk et la commissaire européenne au Commerce
Catherine Ashton.
"Un accord est dans notre intérêt mutuel, et nous allons maintenant discuter avec les différentes parties prenantes et Etats d'un
effort pour le mettre en ouvre aussitôt que possible", ont-ils poursuivi.

Conflit depuis les années 1980
Ce conflit, qui a commencé dans les années 1980, a donné lieu à plusieurs jugements de l'Organisation mondiale du commerce, le
dernier en date, le 16 octobre, affirmant la légalité les sanctions prises en rétorsion par les Etats-Unis et le Canada contre les
produits européens.
L'UE bloque en effet le boeuf américain sur son territoire, au prétexte que la viande des animaux traités aux hormones pourrait
menacer la santé des consommateurs.
Aux termes de l'accord signé mercredi, l'UE va autoriser l'importation de "boeuf de qualité produit à partir d'animaux qui n'ont pas
été traités avec des hormones de croissance, à hauteur de 20.000 tonnes pendant les trois premières années puis 45.000 tonnes à
partir de la quatrième".
En échange, Washington "maintiendra les sanctions existantes et n'en imposera pas de nouvelle pendant la période initiale de trois
ans, et supprimera toutes les sanctions durant la quatrième année".
(Nouvelobs.com)

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USA: le loup gris retiré de la liste des espèces protégées
05-05-2009
WASHINGTON (AFP) - La chasse au loup va rouvrir aux Etats-Unis avec le retrait lundi de la liste des espèces protégées du loup gris,
qui y figurait depuis 1974 après avoir quasiment disparu du territoire.
Hormis dans le Wyoming (nord-ouest) où il reste une espèce protégée, le loup gris pourra désormais être chassé, selon des règles
strictes relevant des Etats, dans la région des Grands lacs, au nord (Michigan, Minnesota,
Wisconsin) où la population est maintenant de 4.000 loups, et dans la région des Rocheuses, au nord-ouest (Idaho, Montana) où ils
sont plus de 1.300.
Il faut ajouter de 8.000 à 11.000 loups en Alaska et 300 dans le Wyoming.
"Les populations de loups sont maintenant viables, en très bonne forme et d'une grande diversité génétique, alors que nous les avons
persécutés et presque exterminés dans 48 Etats", a indiqué à l'AFP Ed Bangs, le principal responsable de la gestion des loups auprès
des US Fish and Wildlife Services (FWS), en charge de la faune au département de l'Intérieur.
Dans les années 70, il ne restait des loups gris qu'au Canada et en Alaska.
"La loi sur les espèces menacées a été un succès et a permis le retour des loups", a ajouté M. Bangs, basé dans le Montana.
Un bilan sera dressé après cinq ans et dans certaines régions les loups pourraient être à nouveau désignés espèces en danger si leur
population devait décroître.
"Les Etats vont pouvoir utiliser la chasse comme un outil de gestion de la population de loups. La saison va s'ouvrir à l'automne et
les chasseurs auront la possibilité d'acquérir une licence pour chasser le loup", a expliqué ce spécialiste.
"Cette chasse ne va pas décimer les populations mais au lieu d'avoir un gars comme moi qui abat un loup depuis un hélicoptère après
qu'il eut attaqué du bétail, vous aurez des chasseurs licenciés qui tireront un loup dans des conditions de chasse équitable",
a-t-il relevé.
L'année passée, sur une population de quelque 5.500 loups dans les régions des Grands Lacs et des montagnes Rocheuses, plus de 5O0
bêtes ont été abattues parce qu'elles avaient attaqué du bétail. Malgré cela, la population de loups a progressé de 8% dans ces
régions en 2008.
Selon M. Bangs, "10% des loups" attaquent les troupeaux et tirer au fusil des animaux depuis un hélicoptère, "ce n'est pas de la
chasse, c'est une solution pour gérer des animaux problématiques", estime-t-il.
Le retrait du loup de la liste des espèces en danger ne va pas sans susciter une levée de boucliers, parmi ses ennemis ou ses amis.
"Nous savons déjà que l'on va être poursuivis en justice par des groupes de défense des animaux qui pensent que l'homme ne doit pas
tuer le loup et par des associations environnementales qui ne font pas confiance aux Etats pour le protéger", a expliqué à l'AFP M.
Bangs.
Il a aussi précisé que l'Etat du Wyoming, qui avait mal accepté la réintroduction du loup sur son territoire il y a plus de dix ans,
veut également intenter une action en justice pour avoir aussi le droit de le chasser.
"Nous allons être poursuivis en justice à la fois par ceux qui aiment et par ceux qui n'aiment pas les loups. C'est typique de la
problématique qui accompagne toujours la gestion des loups", ajoute cet expert.
"Avec les loups, assure-t-il, les symboles prennent le pas sur la réalité".

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Loi - Espagne : un statut juridique pour les animaux

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Loi - Espagne : un statut juridique pour les animaux !

Le droit des animaux est au cœur des débats des législateurs et des défenseurs des animaux dans de nombreuses grandes villes
européennes. Girone, en Calatalogne, au nord-est de l'Espagne, a été la première à mettre noir sur blanc ces droits.

Des projets de loi assurant un droit aux animaux sont en gestation un peu partout en Europe. En Suisse, les animaux ne seront plus
traités comme des objets et bénéficient désormais d'un droit de protection qui devrait pousser à la réflexion plus d'un maître avant
de se lancer dans l'aventure de l'adoption ou de l'acquisition d'un animal. A titre d'exemple, se débarrasser d'un poisson-rouge ou
d'un carassin (cousin des carpes) alors qu'il est encore vivant est désormais interdit chez nos voisins helvètes sous peine de
sanctions

En Espagne, plus précisément dans la ville de Girona, les chiens ont vu leur condition s'améliorer. Un arrêté municipal définit
désormais les obligations des maîtres vis-à-vis de leur animal. Ce dernier doit être promené durant une vingtaine de minutes et ce,
toutes les six heures, s'il est retenu dans un espace réduit. Tout contrevenant s'expose à une peine potentielle allant de 100 à 400 euros.

Cet arrêté pris le 14 avril 2009 fait suite au règlement des problèmes de voisinage et vise à instaurer un modus vivendi plus
agréable entre possesseurs et non possesseurs de chien. Car depuis quelques années, la sensibilisation s'est accrue à l'adresse des
maîtres. "Notre but est d'arriver à la coexistence la plus paisible possible entre les hommes et les animaux, explique l'adjointe à
l'environnement de la ville, Anna Pagans. Le nombre d'animaux domestiques s'étant accru de façon exponentielle ces dernières années,
il fallait absolument arriver à un compromis pour continuer à faire de notre cité, une ville conviviale."

Interdits désormais les animaux enfermés dans une voiture pendant des heures ou laissé dehors pour ne pas déranger le voisin de
palier par ses aboiements. Fini aussi les trottoirs jalonnés de crottes : les propriétaires sont priés de ramasser les déjections de
leur toutou sous peine d'écoper d'une amende de 300 euros. A charge pour les forces de l'ordre municipales de faire appliquer ce
nouveau règlement à la lettre.

A la lecture du texte de l'arrêté, ce qui frappe avant tout, c'est que l'animal passe avant le maître. C'est une première pour un
texte de loi. S'il est certes fait mention de la nécessité d'améliorer les conditions de vie au quotidien, l'accent est mis surtout
sur le "bien-être" animal.

Outre ces quelques points ajoutés à sa législation, la ville de Girone impose depuis 1996 l'enregistrement des chiens de compagnie
contre le paiement d'une taxe annuelle de 40 euros ainsi que le port obligatoire d'un collier d'identification. Toutefois, près de
40% des 3500 chiens recensés ne sont pas enregistrés... Ne dit-on pas que ce sont toujours les cordonniers les plus mal chaussés ?

Article publié le : 04-05-09
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